Evangélisation de l'Amérique hispanique

« A part quelques exceptions limitées dans le temps et l’espace l’évangélisation des Indiens fut le résultat d’une adhésion libre, spontanée, massive et joyeuse, en réponse à leur libération par les Espagnols, soutenus par une majorité des tribus, de la tyrannie sanglante de religions à sacrifices humains »

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Les guerres de religion en France

« Le déclenchement et l’entretien de ces guerres fut essentiellement de la responsabilité d’une minorité calviniste fanatique, organisée, armée sous la direction de grands seigneurs  et aidée systématiquement par les pays protestants voisins. Le but étant de contrôler un pouvoir royal affaibli en y installant un prince qui imposerait le calvinisme à la majorité de 90% des Français fidèles à la religion catholique. »

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Les inquisitions : Languedoc, Espagne, Rome

« Il n’a jamais existé une Inquisition, mais des inquisitions diverses suivant les pays, suivant les époques, suivant les autorités de contrôle. Si son utilisation par certains rois, et même évêques, conduisit à un dévoiement parfois abominable ( Templiers, Jeanne d’Arc ) les actions entreprises au Languedoc et en Espagne mirent fin à des conflits sociaux très graves, provoqués par des minorités abusant la majorité de la population qu’elles tyrannisaient au nom de doctrines aberrantes menaçant la paix et la vie même de la société ou plus simplement en vertu de la loi du plus fort »

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L'Eglise, «véhicule du mal romain »

« Contrairement à l’accusation d’avoir repris le droit romain du Bas Empire et ainsi institué un centralisme autoritaire et stérilisé les intelligences, l’Eglise n’a repris que la forme du droit romain, refusant sur le fond des règles codifiant le divorce et portant atteinte au lien conjugal, base de la famille chrétienne, ou institutionnalisant l’esclavage qui déniait la dignité humaine à une masse considérable d’êtres traités comme des marchandises.

Quant à la stérilisation des intelligences, la civilisation chrétienne du Moyen Age à l’est comme à l’ouest constitue un démenti éclatant à une telle affirmation, préparant d’ailleurs à long terme les progrès des siècles ultérieurs, même si beaucoup encore refusent de reconnaître « les racines chrétiennes de l’Europe ».

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